Dérives thérapeutiques

A ce jour la pratique de la « fasciathérapie », de la « microkinésithérapie », de la « kinésiologie », de la « biokinergie » et de « l’ostéopathie crânienne » constituent pour chacune de ces techniques une dérive thérapeutique et contrevient aux règles déontologiques.

Pour plus de détails concernant l’avis du CNO, cf. pdf en pièces jointes.

Ostéopathie crânienne

L’ostéopathie crânienne n’est pas un soin conforme aux données scientifiques et sa pratique par un kinésithérapeute constitue une dérive thérapeutique .

Pour mémoire, l’article concernant le rapport sur l’ostéopathie crânienne publié en début d’année. Les réponses à ce rapport avaient été vives.

Pour plus de détails concernant l’avis du CNO, cf. pdf en pièces jointes.

Mise en oeuvre d’activité physique et sportive par les kinésithérapeutes

Voici quelques extraits choisis :
"Le kinésithérapeute enseigne des méthodes et techniques qui visent à entretenir et améliorer la condition physique, et il conduit des séances de préparation physique sportive.
Il dispose ainsi de la qualification pour encadrer des activités physiques ou sportives adaptées à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical de tout patient.
Il peut donc exercer la fonction d’éducateur d’une activité physique ou sportive et user de ce titre, sous réserve de respecter également les conditions d’honorabilité et de déclaration fixées par le code du sport
".

Les kinésithérapeutes sont donc autorisés à mentionner sur leurs documents et leur plaque professionnels le titre de « éducateur sportif » ou « éducateur sportif en activités physiques et sportives adaptées », après avoir obtenu leur carte professionnelle d’éducateur sportif auprès du préfet du département dans lequel ils exercent cette activité à titre principal .

Estelle Villiot-Danger précisait il y a quelques jours la possibilité d’obtention de cette carte professionnelle.

Pour plus de détails concernant l’avis du CNO, cf. pdf en pièces jointes.