Après les logiciels qui battent les champions aux échecs et au jeu de go, le logiciel qui est plus performant qu’un généraliste pour diagnostiquer en ligne les pathologies.
Mais où va t’on ma bonne dame ?
Bien sûr, la mise en essai du procédé se fait en Grande-Bretagne en partenariat avec le NHS, et la patiente affiliée au NHS et habitant dans les Highlands trouve ça très bien.
Les general practitionners moins, sauf ceux qui constatent que cette application pourrait servir au patient de premier abord dans l’heure, les conclusions étant transmises au GP ensuite.
Reste que, selon Egora et Babylon, l’inventeur du logiciel, les bonnes réponses du logiciel sont plus importantes que celles d’un étudiant en médecine (81% de bonnes réponses versus 72% pour les étudiants).
Un commentateur sur Egora s’apprêterait à se doter du logiciel dès lors que celui-ci réaliserait aussi le toucher rectal ; cette métaphore un peu scato et orientée traduit bien le rejet évident des médecins qui pensent -à juste titre- que la médecine ne se limite pas à la communication écrite, mais le toucher rectal, quelle validité pour dépister les troubles prostatiques ?
Et nous là-dedans ?
On devrait pouvoir bénéficier en 2022 d’une extension logicielle avec notre logiciel métier, une sorte de médecin virtuel penché au dessus de notre épaule pour nous assister dans la première intention...on pourra même faire les petites mains quand le logiciel le jugera nécessaire, parce que, question palpation on est plutôt bons, non ?
Mais où va t’on ma bonne dame ?
Bien sûr, la mise en essai du procédé se fait en Grande-Bretagne en partenariat avec le NHS, et la patiente affiliée au NHS et habitant dans les Highlands trouve ça très bien.
Les general practitionners moins, sauf ceux qui constatent que cette application pourrait servir au patient de premier abord dans l’heure, les conclusions étant transmises au GP ensuite.
Reste que, selon Egora et Babylon, l’inventeur du logiciel, les bonnes réponses du logiciel sont plus importantes que celles d’un étudiant en médecine (81% de bonnes réponses versus 72% pour les étudiants).
Un commentateur sur Egora s’apprêterait à se doter du logiciel dès lors que celui-ci réaliserait aussi le toucher rectal ; cette métaphore un peu scato et orientée traduit bien le rejet évident des médecins qui pensent -à juste titre- que la médecine ne se limite pas à la communication écrite, mais le toucher rectal, quelle validité pour dépister les troubles prostatiques ?
Et nous là-dedans ?
On devrait pouvoir bénéficier en 2022 d’une extension logicielle avec notre logiciel métier, une sorte de médecin virtuel penché au dessus de notre épaule pour nous assister dans la première intention...on pourra même faire les petites mains quand le logiciel le jugera nécessaire, parce que, question palpation on est plutôt bons, non ?